Ca y est ! Les vacances de la Toussaint arrivent enfin. Ce soir, après 7 bonnes semaines de classe, il sera temps de souffler un petit peu. Loin des enfants. Et se ressourcer. Alors pour l’occasion, j’avais envie de partager avec vous un article tout en légèreté : mes 4 anecdotes des vacances. Comme un avant-goût de ce qui démarre ce soir. Ou bien comme pour se rappeler l’été, qui semble désormais si loin (quoique, avec le temps que l’on a eu la semaine dernière, pas tellement…).
Cette année, nous sommes partis pendant près de 3 semaines. Comme vous avez pu le suivre sur instagram, nous sommes tout d’abord allés dans la famille de mister. Au cœur des montagnes, dans les Pyrénées. Puis, la semaine suivante, nous étions en Espagne, dans une magnifique villa, avec ses ami. Et enfin, nous sommes remontés chez nous, en passant par ma famille, du côté de l’Île d’Oléron. Nous avons donc découvert pas mal de lieux. Mais ces 3 semaines ont également été l’occasion pour voir de ressortir mon côté “Gaston Lagaffe”.
1. Faire sauter le courant
Lorsque nous sommes arrivés en Espagne, le premier soir, nous étions tous crevés. Mais, les garçons étaient contents de se retrouver et sont restés discuter au bord de la piscine, pendant que les filles sont allées se coucher. Pour ma part, j’ai voulu lire un peu, et, en touchant à la lampe de chevet qui était installée, bim bam boum, catastrophe ! Je me suis pris un court-jus, des étincelles sont sorties et le courant a sauté. J’ai eu tellement honte (je ne connaissais tout le monde que depuis quelques heures) que je n’ai pas osé sortir de la chambre. Le lendemain, lorsqu’ils ont eu le fin mot de l’histoire, ça les a beaucoup fait rire.
2. Tomber dans les escaliers
Le lendemain du premier petit accident, une seconde catastrophe m’est arrivée. Nous prenions tous les repas sous l’abri du jardin, où il y avait barbecue, petit frigo et compagnie. J’ai voulu aller chercher les desserts dans la villa. Il fallait donc monter les trois marches en pierre, pour rentrer, puis l’escalier intérieur, menant à la cuisine. Je prends les dessert, en l’occurrence, un panier de fruits, bien rempli. Puis, je redescends. Je me retrouve au rez-de-chaussée. Plus que les trois petites marches du dehors. Et bim, je glisse sur et atterri sur les fesses. Plus de peur que de mal, le panier est sauvé, les fruits ne sont pas tombés. Mais un gros bleu sur ma fesse droite.
Le plus drôle ? J’ai recommencé le lendemain, avec l’escalier intérieur, cette fois. En descendant pour aller prendre ma douche, j’ai raté une marche et fini les fesses par terre. Encore. Cette fois-ci, un gros bleu sur la fesse gauche. Pas de jaloux, comme ça.
3. Exposer sa phobie au grand jour devant tout le monde
Pour cette troisième anecdote, je vais vous raconter deux choses : ma phobie du vide, ma peur incommensurable des guêpes.
Commençons donc par cette phobie qui me tiens depuis mon plus jeune âge. Lorsque nous sommes allés chez mes beaux-parents, qui habitent dans les Pyrénées, ma belle-mère a voulu me faire découvrir un joli lac, perché en haut des montagnes. Nous arrivons donc au parking, prenons les billets et commençons notre petite balade. Puis, je découvre qu’il faut prendre les télécabines. Je n’étais pas très rassurée, mais bon, ça reste fermé. Je prends donc sur moi. En arrivant en haut, toute fière de moi je dis à ma belle-mère que j’étais bien contente que ce ne soit pas un télésiège. Et là, elle regarde mister, et je sens que quelque chose ne va pas. Puis, mon homme lui explique que j’ai très peur du vide. C’est alors que belle-maman m’annonce qu’il y a ensuite un télésiège. Je n’en menais vraiment pas large, pendant toute la montée, je n’ai pas lâché la main de mon amoureux et suis restée les yeux fermés. Bref, la honte devant belle-maman !
Autre peur qui me tient depuis longtemps : celle des guêpes. Alors que nous déjeunions tranquillement dehors, lors de notre séjour en Espagne (avec ses amis, donc, que je ne connaissais que depuis quelques jours), une guêpe a foncé droit sur nous. Enfin, sur moi. Comme si elle sentait ma peur. Elle s’est alors mise à me tourner autour. J’ai donc commencé à faire de petits bons, et crier. Enfin, soyons honnêtes, il s’agissait plus de cris étouffés. Partagée entre ma peur et la honte de me dévoiler devant les autres. Et, malheureusement, cet épisode s’est de nouveau déroulé lors de notre randonnée. Fort heureusement, nous n’étions cette fois que 5.
4. Se faire une entorse du genou
Dernière anecdote des vacances mais non pas des moindres. Lors de la dernière partie de nos vacances, nous nous sommes rendus chez mes parents, non loin de la mer. Le soir, nous avions pour habitude d’aller nous promener, en amoureux, rien que tous les deux. Et, de façon romantique, de profiter de l’environnement et du paysage qui s’offraient à nous. Et puis, j’ai voulu réaliser LE cliché du romantisme sur la plage : écrire nos initiales dans le sable, entourées d’un cœur. Puis, je me suis levée pour prendre la photo. Et là, catastrophe ! En 2 secondes, je me suis retrouvée à terre, m’écroulant sur mister, en pleurs. Il ne comprenait pas ce qui venait de se passer et avant de voir mes larmes, rigolait. Puis, il a compris. J’avais mal. Très mal. Mais, cette douleur, j’en avais l’habitude (coucou les 3 entorses sur un genou + les 2 sur l’autre genou). Alors, en rentrant, j’ai fait comme si tout allait bien, devant mes parents. Puis, j’ai fini par leur dire et mettre de la glace dessus. Le lendemain, je ne sentais plus qu’un petit point dans le genou, mais ça allait déjà mieux.
J’espère que vous avez aimé mes 4 anecdotes des vacances. De votre côté, vous est-il arrivé des choses drôles ?
4 commentaires
Miss catastrophe ?
N’étant pas beaucoup partie en vacances je n’ai pas vraiment d’anecdotes rigolotes mis à part lors du séjour en Irlande, avec notre anglais très approximatif on a demandé à des passants où se trouvait une auberge, en fait elle était juste derrière nous. Ça faisait 6 fois qu’on passait dans cette rue ^^
Oh oui, je pense que tu peux me surnommer ainsi “Miss catastrophe” ^^.
C’est vrai que la barrière de la langue peut parfois être un obstacle compliqué à franchir :). Vous avez dû beaucoup rire.
Waw je viens d’apprendre l’expression “Court-jus”. J’étais persuadée que c’était « coup de jus ». Je me sens chanceuse quand je lis toutes ces galères qui ont eu lieu en seulement 3 semaines !! Il faut voir le positif et se dire que c’était un article sympa à lire.
Je pense que les 2 veulent dire quelque chose de différent, mais j’en suis pas sûre. A vérifier, tiens !
Effectivement, je les ai bien accumulées…