Le journal de Bridget Jones – Helen Fielding

Ce livre traînait déjà dans ma PàL depuis quelques temps mais je n’ai jamais eu l’envie de l’ouvrir, ou alors ce n’était pas le bon moment et, dès les premières lignes, je n’accrochais pas au style de l’auteure. Pourtant, il y a deux semaines, au bord de la piscine, j’ai eu envie d’en retenter la lecture. Il faut dire que dans ma vie en ce moment, c’est plutôt le bonheur ; c’était donc le moment ou jamais de découvrir les aventures livresques de notre célèbre Bridget.

Comme évoqué précédemment, j’avais très peur de la plume d’Helen Fielding et il faut bien avouer que les premières pages ne nous aident pas, avec un style sous forme d’une liste auquel il est assez difficile à accrocher. Puis, petit à petit on rentre dans le récit “pur et dur” des aventures de Bridget Jones, une londonienne trentenaire un peu cul-cul la praline et très naïve, surtout en ce qui concerne les hommes.

Ce qui fait qu’en tant que lectrice on peut s’identifier à Bridget, ce sont avant tout les situations cocasses qu’elle vit tout au long du roman, même s’il est, impensable qu’une telle histoire arrive à une personne normalement constituée. Les traits de caractère de notre héroïne la rendent malgré tout attachante et on est contents de voir pour elle une fin heureuse.

Enfin, j’ai vraiment été ravie de voir que le film, censé être une adaptation du livre, n’en est en réalité pas si proche, étant parfois même éloigné en certains points, et ça, “j’achète !” (comme dirait un célèbre juré de danse…).

Les avis concernant ce roman sont aussi variés qu’il y a de lectrices (lecteurs ?!) mais pour ma part cette lecture a été une vraie rigolade, un vrai moment de bonheur et de légèreté, parfait au bord de la piscine.

On suit Bridget dans ses aventures et ses déboires amoureux, professionnels, familiaux et on se rend compte qu’elle est souvent tournée au ridicule dans les situations quotidiennes. Cela permet de mettre une touche de gaieté et de franche rigolade à notre lecture.