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Mon parcours scolaire et professionnel

21 août 2019
parcours scolaire et professionnel - Cotton candy

S’il y a bien une chose dont je vous ai peu parlé sur le blog, c’est mon parcours professionnel. Vous avez été plusieurs à me poser la question sur les réseaux sociaux, en MP, etc… Alors, je me suis dit que cela pourrait peut-être vous intéresser.

Après tout, c’est vrai : qu’est-ce qui m’a poussé à ouvrir un blog ? En tant que lectrice (lecteur ?) vous pouvez tout à fait vous poser la question de ma légitimité dans le domaine du blogging. C’est pourquoi, j’ai envie de répondre à toutes vos questions ! Celles qui vous ont titillé depuis quelques temps (et que j’avais bien noté dans un coin en vue de cet article) ou bien celles que vous m’avez posées en story instagram.

Mon parcours scolaire

Mais commençons par le commencement : on parcours scolaire. Je vous fais grâce de mes année d’école primaire et du collège. Rien de bien intéressant en soi, puisque mon parcours a été assez classique. Seuls événements notables : mon amour des langues étrangères, dès l’école primaire et plus encore lorsque je suis partie en Angleterre avec ma classe, en CM2. Et puis, au collège, j’ai toujours été une excellente élève. C’était plus compliqué socialement parlant, mais scolairement, je m’en sortais très bien. Ce qui m’a le plus marquée c’est ma moyenne de 17,5/20 au brevet blanc…soit la meilleure moyenne, toutes classes de 3e confondues. Je n’étais pas peu fière, comme vous vous en doutez !

Puis, les années lycée sont arrivées et là, tout a changé de manière assez radicale. Je n’avais plus autant d’envie, de motivation. Une certaine forme de lassitude est apparue, bien que je savais depuis le CE1 ce que je voulais faire plus tard (oui, cette idée de métier ne m’a pas quittée…). Très clairement, j’ai arrêté de me donner les moyens et de bosser. La pression a été totalement relâchée et mon travail scolaire aussi. Ce n’est pas une bonne chose, loin de là même, mais cela m’a fait du bien. J’ai enfin pu commencer à souffler, profiter de ma vie. Et puis, il a fallu choisir une orientation en fin de seconde. Malheureusement, je n’ai pas vraiment eu le choix.

En effet, mes résultats n’étaient pas assez bons dans les matières littéraires pour accéder à un bac L. Pourtant, j’adorais déjà lire et rédiger…mais je n’étais pas très douée, il faut bien l’avouer. J’avais beau essayer, je ne progressais pas. Et je crois que j’ai alors senti une certaine démotivation. “A quoi bon insister, je ne suis pas faite pour ça !”, voilà ce que je me suis dit. J’ai eu tort et aujourd’hui, je le regrette. Et puis, il y avait le bac S qui aurait pu me convenir car j’adorais les maths (et sans aucune prétention, je me débrouillais plutôt bien) ! Mais, à côté de ça, SVT et physique-chimie me dégoûtaient au plus haut point. Mon “choix” s’est donc tourné vers un bac ES, bien que les cours de sciences économiques et sociales ne m’enchantaient guère…

A la fin de la première, j’ai donc passé le bac de français, réussi de justesse à l’écrit et un peu raté à l’oral. Mais, je ne me suis as découragée pour autant et j’ai abordé la terminale de la manière la plus sereine que je le pouvais. Il m’a alors fallu me décider sur une option pour le bac : SES (coefficient 7+2) ou maths (coefficient 5+2). Sans surprise, ce sont les maths qui ont eu ma préférence. D’autant plus que le coefficient de l’épreuve devenait alors le même qu’en SES…ce qui m’a, fort heureusement, assuré des points de “compensation” lors des épreuves. Au terme d’une année assez compliquée, j’ai finalement décroché mon bac ES, sans mention, mais sans aller aux rattrapages.

Et après le bac : quel parcours ?

Puis, après (un peu plus de) deux mois de vacances, j’ai attaqué en septembre 2008, l’université. La fac, quoi. C’est tout naturellement que j’ai jeté mon dévolu sur une filière linguistique : la L.E.A (comprenez : licence de Langues Étrangères Appliquées). Me voilà donc partie pour 3 années, dans un domaine qui me plaisait enfin. Au fur et à mesure que les années passaient (sans trop d’encombres et sans jamais aller aux rattrapages), je validais mes semestre, un par un. Jusqu’à arriver en troisième année de licence. Cette fois-ci, certaines choses ont commencé à évoluer. Cette troisième année a également été celle où j’ai dû opter pour une option (obligatoire). En vue de préparer mon entrée future dans le métier de professeur des écoles, j’ai tout naturellement choisi une option intitulée “PPME” (Pré-professionnalisation aux métiers de l’enseignement).

En dernière année de licence, il m’a également fallu trouver un stage en entreprise. Beaucoup d’étudiants ont connu cette galère : pas assez d’expérience, personne ne veut vous prendre. Pourtant, il faut bien commencer quelque part. J’ai finalement, réussi à être assistante / enseignante d’anglais dans une école. Ce qui m’a apporté une première expérience dans le domaine de l’enseignement.

Une fois de plus, j’ai mon année de licence (la troisième…) sans passer par les rattrapages. J’ai même eu la chance d’obtenir une mention ! En parallèle, lors des grandes vacances, je travaillais en entreprise. Dans le domaine de la comptabilité, cette fois. Outre le côté financier, cela m’a permis d’acquérir de l’expérience. Un premier pied dans le monde du travail et de l’entreprise. J’ai eu, en plus, la chance de découvrir quelque chose qui me plaisait. Un domaine pour lequel je n’étais pas formée mais dont le salaire était bien sympa !

Les années post-fac de langues, j’ai intégré un autre cursus universitaire : l’IUFM (Institut Universitaire de Formation des Maîtres), qui n’existe plus sous ce nom aujourd’hui. A l’heure où j’écris cet article, on parle désormais d’ESPE (Ecole Supérieure du Professorat et de l’Enseignement). Ce cursus m’a permis de préparer et obtenir haut la main le CRPE (Concours de Recrutement des Professeurs des Ecoles). C’est cette réussite qui a marqué la fin de mes études et l’entrée dans la vie active.

Mon parcours professionnel

Concernant mon boulot, j’en ai brièvement parlé à deux reprises sur le blog : ici et . Je vous renvoie vers ces articles, dans un premier temps, si vous voulez en apprendre davantage. Mais, je compte bien développer dans ce billet mon parcours professionnel de manière un peu plus détaillée.

La première année post-concours a été très difficile. Nous étions visités par des professionnels et évalués sans cesse. En tout, ce ne sont pas moins de 10 visites qui nous ont été imposées. Et encore, ceux qui n’avaient pas la chance d’avoir des rapports positifs ont dû en subir davantage. Le niveau était assez exigeant et on ne pouvait pas se permettre de se relâcher un seul instant. Mais, jours après jours, semaines après semaines, mois après mois, j’ai réussi à avancer et sortir la tête de l’eau. Aujourd’hui, ma pratique a évolué (heureusement, depuis mon année de stagiaire en 2013…) mais la pression est toujours là. Même si elle est moins forte. Beaucoup perçoivent le métier d’enseignant facile. Détrompez-vous !

Pourtant, aujourd’hui, bien que j’aime encore mon métier d’enseignante, je me pose parfois la question d’un changement d’orientation professionnelle. Et si un autre parcours me convenait mieux ? Et si je pouvais pleinement m’épanouir en travaillant dans un autre domaine ?

Et vous, quels ont été vos parcours scolaires et professionnels ?

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